Estime de soi : 5 autres croyances limitantes qui la sabotent et vous empêchent de vous valoriser

Le précédent article vous avait dévoilé 5 croyances limitantes qui détruisent l’estime de soi, et sont à la base de la dévalorisation de soi.

En effet, ces 5 croyances limitantes peuvent être de véritables poisons dans la vie d’une personne. Il s’avère par conséquent essentiel de bien les connaître si l’on veut pouvoir s’en débarrasser efficacement.

Malheureusement, elles ne sont pas seules !
Il y en a au moins 5 autres !

Et cet article-ci vous les dévoile, exemples à l’appui.
Mais ce n’est pas tout : il vous montre également, tout comme celui des 5 premières, toutes les solutions pour vous en défaire.

De cette manière, vous allez pouvoir redorer votre estime de vous-même, exploiter votre plein potentiel, et donc jouir des bienfaits liés à un meilleur épanouissement personnel et professionnel.

Si vous vous sentez prête pour le voyage, alors c’est parti !

La croyance limitante n°6 qui mine l’estime de soi, et la solution pour s’en détacher

La croyance limitante n°6 qui sabote l’estime de soi, et la méthode pour s’en libérer

La croyance limitante n°6 qui freine l’estime de soi, et la clé pour s’en détacher

La croyance limitante « Je ne peux pas changer » est l’une des plus paralysantes, et donc des plus destructrices pour l’estime de soi.

Vous vous dites peut-être : "Je suis comme ça, je ne changerai jamais" ou "C’est trop tard pour moi, je suis trop ancrée dans mes habitudes".

En effet, que ce soit pour améliorer un comportement, surmonter une peur ou atteindre un objectif, beaucoup de gens s’auto-persuadent qu’ils sont figés dans une certaine version d’eux-mêmes.

En outre, ils pensent également que ladite version ne pourra jamais évoluer. Cette pensée crée une prison mentale qui bloque toute forme de progression.

Voici un exemple concret qui illustre ces propos :

Une illustration claire des effets de cette croyance limitante sur l’estime de soi

Imaginez que vous avez toujours eu du mal à gérer votre stress au travail.

À chaque nouvelle situation tendue, votre réaction est la même : panique, procrastination, et perte de confiance en soi.

Vous finissez par vous dire : "Je suis stressée par nature, je ne peux pas changer ça."
Et voilà comment, au lieu de chercher des solutions pour mieux gérer ce stress, vous vous condamnez à le subir.

Vous vous persuadez que c’est votre "nature" et que rien ne pourra jamais y changer quoi que ce soit.

Heureusement, il y a une solution, un remède à votre portée. Juste ci-dessous !

Le remède pour se détacher de cette croyance limitante

Vous savez, le problème, c’est que la croyance limitante « Je ne peux pas changer » bloque totalement votre potentiel d’évolution.

En vous convaincant que vous ne pouvez pas changer, vous vous enfermez dans une forme d'immobilisme. Ce qui vous empêche d’essayer de nouvelles choses, de vous améliorer et de grandir.

Vous créez des excuses pour rester dans votre zone de confort, alors que le changement est non seulement possible, mais tout à fait naturel.

Le fait est, que nous avons toutes et tous la capacité de changer.
Le cerveau humain est doté d'une fonction incroyable appelée la neuroplasticité.

Ce qui signifie qu’il est capable de se reconfigurer, d’apprendre de nouveaux comportements, et d’adopter de nouvelles habitudes.

Et, avant que vous ne commenciez à vous poser des questions, sachez que cette fonction est opérationnelle durant toute votre vie. Autrement dit, l’excuse de l’âge n’est pas valable.

Ainsi, le premier pas pour briser cette croyance limitante et donner une chance à votre estime de soi de revivre, c’est de reconnaître que vous n'êtes pas figée : vous êtes un être en constante évolution.

Si vous êtes prête à passer à l’action, commencez par choisir un domaine de votre vie où vous souhaitez changer, même légèrement.

Ensuite, identifiez une petite action que vous pouvez entreprendre chaque jour pour faire évoluer cette situation.

Par exemple, si vous vous dites "Je suis stressée par nature", essayez de méditer ou de respirer profondément pendant 5 minutes par jour.

Ces petits changements cumulés créent une dynamique de progression, et plus vous les mettez en pratique, plus vous réalisez que **oui, vous pouvez changer**.

En résumé, **vous n’êtes pas figée**, vous êtes en constante transformation. Le changement est toujours possible, et il commence par le choix de croire que vous en êtes capable.

Car, oui, ce n’est rien d’autre qu’un choix !

On peut choisir de croire que l’on en est capable comme on peut choisir de croire que l’on en est incapable.

C’est là que réside votre VÉRITABLE pouvoir.

Sans plus tarder, passons à la 7e croyance limitante qui a la capacité d’affecter négativement votre estime de soi.

La croyance limitante n°7 qui affecte négativement l’estime de soi, et la clé pour s’en émanciper

La croyance limitante n°7 qui impacte négativement l’estime de soi, et la méthode pour s'en libérer.

La croyance limitante n°7 qui mine l’estime de soi, et la solution pour s’en affranchir

Ah, la peur d’être perçue comme arrogante à cause d’une bonne estime de soi

C’est une croyance limitante assez répandue, vous savez.
Cela l’est d’autant plus dans les sociétés où l’humilité est valorisée à l’extrême.

On se dit : *"Si je m’aime, les autres vont penser que je suis prétentieuse.
Si je me montre satisfaite de moi, les autres vont penser que je suis égoïste, que je me prends pour quelqu’un d’important"*.

Comprenez déjà que cette croyance limite l’expression d’une saine estime de soi, par crainte du jugement des autres.

Certes, il nous est toutes déjà arrivé, à un moment ou à un autre, de refouler une fierté personnelle pour ne pas paraître "trop sûres de nous".
Mais quand cela devient une habitude, alors ça finit par nuire à l’image que vous avez de vous-même.

Voici de quoi illustrer ces propos :

Un exemple pratique de l’impact de cette croyance limitante sur votre estime de soi 

Disons que vous venez de terminer un projet professionnel qui vous tenait à cœur, et les résultats sont excellents.

Vous êtes fière, mais au moment de partager cette réussite avec vos collègues ou amis, une petite voix intérieure vous freine : "Si tu parles de ça, ils vont te trouver arrogante, tu ferais mieux de minimiser."

Alors, vous balayez vos accomplissements d’un revers de la main, en disant que "ce n'était pas grand-chose".

Ce genre de comportements finit par brider la reconnaissance, l’estime de soi que vous pouvez vous accorder, et par nourrir une fausse humilité qui nuit à votre propre bien-être.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a une solution, une clé pour y mettre fin !

La clé pour s’émanciper de cette croyance limitante

Le problème avec cette croyance limitante, c’est qu’elle vous pousse à étouffer votre estime de soi, à croire que s’aimer ou être fière de soi est un défaut.

En réalité, il existe une énorme différence entre la fierté saine et l’arrogance.

L’une vous permet de **vous reconnaître à votre juste valeur**, de célébrer vos succès, et de renforcer votre confiance en soi.

L’autre, en revanche, se fonde sur la comparaison avec les autres ainsi que la dévalorisation des autres pour se sentir supérieure.

Pour surmonter cette croyance, il faut comprendre que **s’aimer soi-même ne fait pas de vous une personne prétentieuse**.

En fait, c’est même la base d’une vie épanouie.

Vous pouvez célébrer vos réussites sans pour autant écraser ou rabaisser les autres. Vous avez le droit de vous apprécier, de reconnaître vos qualités et de les valoriser.

Si vous désirez vous libérer de cette croyance limitante, prenez l’habitude, à chaque fois que vous réalisez quelque chose dont vous êtes fière, de prendre un moment pour **vous féliciter vous-même**.

Prenez un moment pour rendre cet instant sacré.

Vous n’êtes pas obligée de le crier sur tous les toits, mais offrez-vous un moment de reconnaissance personnelle.

Écrivez par exemple une liste de **3 accomplissements récents** dont vous êtes satisfaite, sans minimiser leur importance.

Répétez cet exercice régulièrement pour reprogrammer votre cerveau à accepter que s’estimer soi-même est une chose positive, et non un acte d’arrogance.

En résumé, s’aimer n’est pas prétentieux, c’est la clé pour être bien dans sa peau et avancer avec assurance dans la vie.

Soyez fière de vous-même, sans crainte du jugement !

Passons à la croyance limitante n°8, ennemie de votre estime de soi.

La croyance limitante n°8 qui sape l’estime de soi, et comment s’en séparer

La croyance limitante n°8 qui nuit à l’estime de soi, et comment s’en débarrasser

La croyance limitante n°8 qui fragilise l’estime de soi, et comment y remédier

La croyance limitante « J’ai toujours échoué, pourquoi ça changerait ? » est un véritable poids qui empêche votre estime de soi de croître.

Vous avez peut-être tenté plusieurs choses par le passé :

  • un projet professionnel ;
  • une relation amoureuse ;
  • un objectif personnel ;
  • etc.

Mais pour diverses raisons, ça n’a pas fonctionné. Avec le temps, ces échecs s’accumulent dans votre esprit, et vous finissez par penser : "À quoi bon essayer ? De toute façon, ça ne marche jamais pour moi."

C’est la croyance que **l’échec est une fatalité**, une prophétie auto-réalisatrice qui finit par étouffer toute tentative de sortir de votre zone de confort.
Ce qui va naturellement bloquer le développement de votre estime de soi.

Mais l’échec n’est, en aucun cas, une fatalité. Pour personne !!!

En décidant d’affronter cette croyance limitante, en faisant les efforts qu’il faut, vous finirez certainement par connaître le succès.

Diverses circonstances, comme celle-ci-dessous, montrent comment une telle croyance peut vous freiner :

Un exemple concret d’une circonstance dans laquelle cette croyance limitante peut affecter votre estime de soi 

Il se peut que vous ayez essayé de monter votre propre entreprise par le passé, mais l’expérience s’est soldée par un échec.

Peut-être que vous n’aviez pas assez de clients ou que la gestion financière s'est révélée plus compliquée que prévu.

Désormais, dès qu’une nouvelle idée de projet vous vient à l’esprit, vous la rejetez instantanément : "Pourquoi tenter ? Je vais juste échouer à nouveau."

Ce schéma de pensée finit par vous enfermer dans un immobilisme total, où l’inaction devient un mécanisme de protection contre la douleur potentielle d’un autre échec.

Tout juste ci-dessous, vous trouverez ce qu’il vous serait très bénéfique de faire.

La solution pour vous en séparer

Le problème avec la croyance limitante
« J’ai toujours échoué, pourquoi ça changerait ? »,
c’est qu’elle vous empêche d’apprendre et d’évoluer.

Mais la vérité, c’est que: **Chaque échec est une opportunité d’apprentissage**, et rien d’autre !!!

Si vous restez bloquée dans l’idée que l’échec définit qui vous êtes, vous ne verrez jamais les échecs comme des marches, des tremplins pour atteindre le succès. Vous finirez par croire que votre passé conditionne irrémédiablement votre futur, ce qui est complètement faux !

Archi-faux !!!

Oui, comme vous venez de le comprendre, la meilleure manière de surmonter cette croyance limitante, c’est de changer de perspective sur l’échec.

Plutôt que de le voir comme une finalité, considérez-le plutôt comme une **étape d’apprentissage**.

Chaque fois que vous échouez, vous apprenez ce qui n’a pas fonctionné, et c’est précisément cette connaissance qui vous aide à mieux faire la fois suivante.

Les plus grands entrepreneurs et leaders ont souvent échoué de nombreuses fois avant de réussir.
Thomas Edison a testé plus de 1000 versions de l’ampoule avant de trouver la bonne. Il n’a pas vu ces tentatives ratées comme des échecs, mais comme des **leçons**.

Ainsi, si vous désirez également connaître, un jour, le fabuleux goût du succès, l’exercice suivant vous aidera à débuter votre transformation.

Commencez par faire une liste de trois situations où vous avez échoué par le passé.

Ensuite, notez, à côté de chacune d’elles, une chose que vous avez apprise grâce à cet échec.

Cela vous permettra de voir que même les moments difficiles vous ont apporté des leçons précieuses.

Pour finir, engagez-vous à essayer quelque chose de nouveau, même si cela semble risqué, en gardant à l’esprit que l’échec n’est qu’une partie du processus de réussite.

En résumé, l’échec n’est pas une fin, c’est un tremplin.

Ce n’est pas parce que vous avez échoué par le passé que vous échouerez dans le futur. Ce qui compte, c’est de ne pas laisser la peur de l’échec dicter vos choix.

Nous allons maintenant aborder l’avant-dernière croyance limitante qui peut s’attaquer à votre estime de soi.

La croyance limitante n°9 qui terrasse l’estime de soi, et comment s’en délivrer

La croyance limitante n°9 qui bloque l’estime de soi, et comment s’en affranchir

La croyance limitante n°9 qui détruit l’estime de soi, et comment s’en débarrasser

Celle-ci, c’est la croyance limitante qui pousse à la quête impossible de la perfection au risque de détériorer votre estime de soi.

On se dit : *"Je dois être parfaite pour être aimée. Si je ne fais pas tout parfaitement, on va me juger, je ne serai pas aimée, je vais décevoir"*.

Cette obsession de la perfection, qu’il s’agisse de votre apparence, de votre travail, ou même de vos relations, crée une pression énorme.

Vous avez l’impression que vous devez sans cesse prouver votre valeur, et que la moindre imperfection va tout faire s’effondrer.

Résultat : Burn-out, frustration, et un sentiment permanent de ne jamais être assez.

Pensez-vous réellement que le jeu en vaut la chandelle ?

Bien sûr que NON.

La démonstration suivante montre parfaitement comment cette croyance limitante peut littéralement vous pourrir la vie :

Une démonstration concrète de la manière dont cette croyance limitante endommage votre estime de soi 

Imaginez que vous travaillez sur un projet important pour votre travail.

Vous passez des heures à peaufiner chaque détail, à relire, à corriger, mais rien ne vous semble jamais assez bien.

Vous refaites encore et encore certaines parties, en espérant atteindre cette perfection illusoire.

À la fin, vous finissez épuisée, avec la frustration de ne pas avoir atteint l’idéal que vous vous étiez fixée.

Cette quête perpétuelle du "zéro défaut" finit par vous voler votre énergie et, parallèlement, vous empêche de célébrer les progrès réels que vous faites.

Vivre ainsi ne fait, en rien, du bien à votre estime de soi. Découvrez le remède, la solution à ce mal juste ci-dessous.

La solution qui vous en délivre

Le problème avec cette croyance, c’est qu’elle vous maintient dans une boucle d’insatisfaction. Car la perfection est une illusion inatteignable.

En cherchant constamment à être "parfaite", vous vous empêchez d’être authentique, vulnérable, et surtout humaine. Autrement dit, vous vous empêchez de vivre pleinement.

Or, c’est justement dans nos imperfections que réside notre beauté et notre singularité.

Personne n’est parfait, et c’est cette diversité de parcours et d’erreurs qui rend les relations et les expériences humaines si riches.

Pour dépasser cette croyance, il est important de réaliser que l’imperfection est non seulement normale, mais qu’elle est aussi ce qui vous rend unique et si attachante.

En étant vulnérable, vous permettez aux autres de se connecter à vous de manière authentique.

En guise de conseil pratique, la prochaine fois que vous ressentez la pression de la perfection, faites une pause et réfléchissez à une petite imperfection que vous pourriez accepter sans culpabiliser.

Ça peut être un e-mail envoyé et que vous n’avez pas relu dix fois, ou même une conversation où vous vous autorisez à dire "Je ne sais pas".

Par ailleurs, sur un plan plus pratique, faites une liste de **3 choses imparfaites** chez vous ou dans vos actions récentes.

Ensuite, écrivez à côté **pourquoi ces imperfections vous rendent humaine** et peuvent même être des forces.

Par exemple, être trop spontanée peut amener de l’authenticité dans vos échanges.

En résumé, vous n’avez pas besoin d’être parfaite pour être aimée.

Ce sont vos imperfections qui font de vous une personne unique et digne d’amour.

Découvrons, à présent, la dixième croyance limitante qui détruit votre estime de soi.

La croyance limitante n°10 qui impacte négativement l’estime de soi, et comment s’en décharger

La croyance limitante n°10 qui nuit à l’estime de soi, et comment s’en affranchir

La croyance limitante n°10 qui influence négativement l’estime de soi, et comment s'en décharger

La croyance limitante « Le bonheur, c’est pour les autres » est celle qui vous fait croire que **le bonheur est une destination inaccessible**, au grand dam de votre estime de soi.

Vous pensez que le bonheur est réservé à une élite de personnes chanceuses ou "méritantes".

Vous vous dites peut-être : *"Je n’aurai jamais une vie aussi belle que la leur"* en voyant des amis, des collègues ou même des inconnus sur les réseaux sociaux afficher leur bonheur.

Cette pensée finit par devenir une excuse pour ne pas poursuivre vos propres rêves ou ne pas vous accorder le droit de ressentir du bonheur dans votre vie.

Voici une situation du quotidien qui illustre bien cet état de choses :

Un cas-type où cette croyance limitante porte préjudice à l’estime de soi 

Vous êtes sur Instagram, et vous voyez encore une fois ces photos parfaites de vacances ou de réussites professionnelles.

En les regardant, un sentiment d’amertume monte : "Pourquoi eux, et pas moi ?". Vous vous mettez à penser que le bonheur est réservé à ceux qui ont une vie différente de la vôtre.

Vous pensez que vous n’avez pas de chance, et que vous ne méritez pas d’être également heureuse.

Conséquences : cela crée un fossé entre ce que vous avez, et ce que vous pensez ne jamais pouvoir atteindre. Ce qui, bien entendu, ne fait pas du bien à votre estime de soi.

Le remède à ce mal est tout simple, et se trouve juste ci-dessous !

La solution pour vous en décharger

Le problème avec cette croyance limitante, c’est qu’elle vous enferme dans un **sentiment de résignation**.

Vous vous privez d’apprécier les petits moments de bonheur qui existent déjà dans votre vie. Vous comparez sans cesse ce que vous avez avec une version idéalisée du bonheur, souvent embellie par les réseaux sociaux ou les apparences extérieures.

En réalité, le bonheur est souvent **dans les petites choses**, mais la croyance, qu’il vous est inaccessible, vous empêche de les voir.

Si vous voulez vous débarrasser, déconstruire cette croyance, il est essentiel de comprendre que **le bonheur est une question de perception**, pas de circonstances.

Il ne s’agit pas de posséder une maison parfaite ou d’avoir une carrière de rêve, mais de savoir apprécier les petits moments de joie dans la vie quotidienne.

Un sourire, un café chaud, une promenade au soleil, tout cela est du bonheur, si vous choisissez de le voir ainsi.

En guise d’exercice pratique pour le quotidien, écrivez trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissante ou qui vous ont apporté de la joie, même minime.

Cela peut être aussi simple que de voir une belle fleur dans la rue, ou de passer un moment agréable avec un proche.

Plus vous vous entraînez à voir ces petits moments de bonheur, plus vous réalisez que le bonheur est déjà là, à portée de main.

En résumé, le bonheur n’est pas réservé aux autres, il est aussi pour vous. 

Il suffit de choisir, de le voir dans les petites choses qui embellissent vos journées.

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