Lors de nos précédents articles sur la peur de décevoir, nous avons étudié les origines, les conséquences, et les symptômes de cette crainte largement répandue.
Une crainte non seulement très répandue, mais également aux racines profondément enfouies et bien ancrées en nous !!!
Donc, si la peur de décevoir est, pour vous aussi, un fardeau silencieux qui entrave votre épanouissement personnel et professionnel, je vous invite à prendre connaissance de ces articles ci-dessous :
Dans cet article, je vous dévoile des stratégies pratiques et accessibles, illustrées par des exemples concrets du quotidien ainsi que par des études de cas, afin de vous libérer de cette crainte persistante.
Ces stratégies, vous pouvez les utiliser séparément ou les combiner pour maximiser les résultats et vous débarrasser pour de bon de cette crainte.
Elles se trouvent ci-dessous et sont à votre portée.
Imaginez-vous vivre désormais avec une totale confiance en vous-même, sans le poids constant de la peur de décevoir.
Imaginez-vous enfin réellement libre et pleinement épanouie.
C’est ce que vous offrent ces stratégies qui ont transformé le quotidien de toutes celles qui les ont utilisées.
Découvrons-les ensemble !
1re stratégie pour désamorcer la peur de décevoir

1re stratégie pour surmonter la peur de décevoir
Il est facile de désamorcer la peur de décevoir.
Cette stratégie se cache dans l’histoire de Sarah H. et dans 2 autres exemples que voici :
L’histoire de Sarah H. et ces 2 exemples nous édifient sur la 1re stratégie pour désamorcer la peur de décevoir
Je me souviens de Sarah H., une jeune femme que j’ai accompagnée et dont la peur de décevoir se manifestait de diverses façons.
Des façons un peu particulières et qui méritent d’être soulignées.
Comme beaucoup, Sarah passait des heures à choisir sa tenue, même pour un simple café entre amis. Elle vérifiait également trois fois ses messages avant de les envoyer. Mais ce n’est pas tout !
Sarah s'excusait systématiquement, pour tout et tout le temps, même pour les plus petits désaccords.
Un jour, déterminée à se libérer de cette perpétuelle quête d'approbation, elle décida de tenter une expérience toute simple :
Sortir faire ses courses du samedi matin en baskets et jogging, sans maquillage.
Une tenue qu'elle n'aurait jamais osé porter auparavant, de peur du jugement des autres.
À sa grande surprise, personne ne la regarda différemment !!!
Cette petite victoire l'encouragea à poursuivre : la semaine suivante, elle osa exprimer son point de vue différent lors d'une réunion de travail, sans s'excuser ni chercher à adoucir son propos.
Encore une fois, le monde ne s'écroula pas.
Au contraire, ses collègues apprécièrent sa franchise.
Prenons un autre exemple : celui d’une présentation orale.
La peur du regard des autres, du blanc, des questions pièges, peut être paralysante.
Naturellement, vous allez vous focaliser sur la performance et la manière dont vous serez perçue.
Et si vous commenciez plutôt par la petite action suivante : répéter votre présentation face au miroir, sans chercher à être parfaite.
L'objectif est simplement de vous familiariser avec le contenu et le message à transmettre.
Prenons un nouvel exemple.
Imaginez la scène suivante : vous devez envoyer un mail important à votre supérieur. Vous le relisez une dizaine de fois, peaufinant chaque phrase, chaque mot, obsédée par l'idée qu'il soit parfait et qu'il vous présente sous votre meilleur jour.
La peur de décevoir vous paralyse, retarde l'envoi, et génère un stress incontrôlable.
Mais au fait, pourquoi viser la perfection et chercher à plaire à tout prix ?
Et si vous commenciez par une petite action, un premier pas sans enjeu majeur ?
Dans ce cas précis, l'objectif simple pourrait être d'envoyer un email concis avec les informations essentielles, sans fioritures ni formulations complexes.
Oubliez donc l'idée de l'email "parfait" qui vous vaudra des félicitations.
Et concentrez-vous sur la transmission claire et efficace du message.
Voilà donc l’histoire de Sarah ainsi que les 2 exemples et voyons la stratégie toute simple qu'elle a pu mettre en pratique.
La 1re stratégie toute simple et immédiatement applicable pour neutraliser la crainte de décevoir : commencez par tester une petite action sans chercher à plaire.
La stratégie utilisée par Sarah et dans les 2 autres exemples pour neutraliser la crainte de décevoir, c’est tout simplement d’agir de manière simple et progressive, sans se soucier du résultat ni du jugement des autres.
C’est tout simplement de commencer par tester une petite action sans chercher à plaire.
L'important est de se mettre en mouvement, de passer à l'action, même imparfaitement.
C'est en expérimentant, en osant se montrer tel que l'on est, que l'on parvient à se libérer du poids du regard d'autrui et à s'épanouir pleinement.
De petites actions, apparemment insignifiantes, sont en réalité de puissants exercices de libération. Chaque petit pas compte, qu’il s’agisse :
Bien entendu, l'objectif n'est pas de devenir indifférent aux autres, mais d'apprendre à agir en accord avec soi-même, sans que la peur de décevoir ne soit le premier filtre de nos décisions.
Découvrons à présent la 2e solution pour surmonter cette crainte.
Peur de décevoir : 2e stratégie pour la surmonter : Créer une liste d’objectifs progressifs
La 2e solution pour surmonter la peur de décevoir est, elle aussi, à la portée de toutes et de tous.
Le cas de Mélanie P. l’illustre bien :
Peur de décevoir : le cas Mélanie P.
Un jour, Mélanie P., une graphiste talentueuse, mais terriblement perfectionniste, reçoit une demande de son patron : créer une présentation pour un client.
Immédiatement, sa peur de décevoir entre en jeu.
Elle imagine déjà son équipe froncer les sourcils à la moindre erreur ou le client resté silencieux.
Signe, selon elle, d’une insatisfaction.
Résultat ?
Mélanie reporte son travail jusqu’à la dernière minute par peur de "mal faire". Pourtant, elle sait que continuer ainsi la mènera à l’épuisement.
C’est alors qu’elle découvre une méthode, une stratégie !
La révélation de la 2e stratégie pour atténuer la peur de décevoir
Tout comme la 1re stratégie qui consiste à tester une petite action sans plaire, cette 2e stratégie est toute simple :
Au lieu de viser la perfection tout de suite, pourquoi ne pas se fixer des objectifs progressifs ?!
Pourquoi ne pas se faire une liste d’objectifs progressifs ?
Mélanie prend alors une feuille de papier et inscrit une liste de petites étapes qu’elle peut accomplir sans que cela ne lui paraisse insurmontable :
Plutôt que d’angoisser à l’idée de "trop ou pas assez bien faire", Mélanie se concentre sur une micro-action à la fois.
Et à sa grande surprise, le processus devient plus fluide et moins stressant.
Une fois la présentation terminée, sa confiance grandit.
Et même si tout n’est pas parfait, elle réalise que cela importe peu.
Car elle a osé avancer.
Et vous savez quoi ?
L’application de cette stratégie ne se limite pas au travail
Une stratégie qui s’étend bien au-delà du monde professionnel
Se faire une liste d’objectifs progressifs ne s’applique pas qu’au boulot.
Par exemple, imaginons que rencontrer des nouvelles personnes vous angoisse.
Votre premier objectif pourrait simplement être de poser une question à quelqu’un au bureau.
Puis, un jour, de discuter trois minutes avec un inconnu à une soirée.
Ensuite, pourquoi ne pas tenter de participer à une activité en groupe ?
Une étape après l’autre, vous gagnez en assurance tout en affrontant vos peurs à dose réduite.
Créer une liste d’objectifs progressifs, c’est accepter que la liberté face à la peur de décevoir ne se gagne pas d’un coup, mais par des victoires pas à pas.
Chaque petit objectif atteint est une preuve que le monde ne s’effondrera pas si vous n’êtes pas parfaite.
Alors, pourquoi ne pas sortir un carnet ou aller sur une application de prise de notes dès maintenant ?
Notez-y vos peurs et transformez-les en petites missions atteignables.
Vous serez surprise de constater combien ces petites actions répétées peuvent changer vos perspectives.
Découvrons à présent la 3e stratégie !
La 3e stratégie pour mettre fin à la peur de décevoir : trouvez un mentor dans votre environnement professionnel
Trouver un mentor dans votre environnement professionnel, c’est la 3e stratégie pour mettre fin à la peur de décevoir.
Et elle peut se révéler ultra-performante et voici pourquoi :
Oui, un mentor est une solution efficace contre la peur de décevoir
La peur de décevoir peut être profondément isolante.
On se replie sur soi-même, persuadée d’être la seule à ressentir cette fragilité.
Trouver un mentor, c’est briser ce sentiment d’isolement et s'ouvrir à une perspective bienveillante et constructive.
Dans votre environnement professionnel, ce mentor peut être un collègue plus expérimenté, un supérieur hiérarchique avec qui vous avez une bonne relation, ou même une personne d’un autre service qui vous inspire.
Imaginez : vous êtes face à un nouveau projet complexe, et la peur de ne pas être à la hauteur vous envahit.
Au lieu de ruminer vos angoisses en silence, parlez-en à votre mentor.
Il pourra vous faire part de ses propres expériences, de ses erreurs passées, et vous démontrer que la peur de l’échec est une émotion humaine et universelle.
Il pourra également vous donner des conseils précieux, vous orienter vers des ressources utiles, et vous encourager à prendre des risques mesurés.
Par exemple, si vous appréhendez une négociation importante, votre mentor pourra simuler avec vous différents scénarios, vous aider à identifier vos points forts et vos points faibles, et vous donner des clés pour gérer votre stress.
Si vous craignez de ne pas maîtriser une nouvelle technologie, il pourra vous guider dans votre apprentissage, vous faire profiter de son expertise, et vous rassurer sur votre capacité à progresser.
Mais attention !!!
Attention, un mentor, c’est votre guide vers une vie sans peur de décevoir, et non quelqu’un qui exécute à votre place
Un mentor n'est pas là pour vous donner des solutions toutes faites ni pour faire le travail à votre place.
Son rôle est de vous accompagner dans votre réflexion, de vous aider à identifier vos propres ressources, et de vous encourager à dépasser vos limites.
Il crée un espace de confiance où vous pouvez exprimer vos doutes et vos peurs sans crainte d'être jugée.
Cette relation privilégiée vous permet de prendre du recul, de relativiser l'importance de l'erreur, et de développer une attitude plus positive face aux défis professionnels.
En vous sentant soutenue et compris, vous gagnerez en assurance et vous oserez vous lancer dans de nouveaux projets avec plus de sérénité.
Trouver un mentor, c'est investir dans votre développement professionnel, mais également personnel. Et c'est un pas important pour en finir avec la peur de décevoir.
Passons à la 4e stratégie !
4e stratégie pour mettre fin à la peur de décevoir : tenez un journal de gratitude
Tenir un journal de gratitude peut paraître anodin et tout simple comme acte à poser.
Mais cela s’avère très puissant et très efficace contre la peur de décevoir.
Et voici pourquoi :
La gratitude, un levier puissant contre la peur de décevoir
La pratique de la gratitude rend positive ou renforce une attitude déjà positive.
Mais ce n’est pas tout !
Cette pratique vous rappelle vos réussites passées, ce qui va augmenter votre confiance en vous et réduire la peur de décevoir.
Pourquoi ?
Parce que cette pratique vous fait voir et vous rappelle constamment que vous n’êtes pas nulle, que vous avez déjà réussi à être et avoir, que vous avez déjà réussi à faire des choses, et que vous le pouvez encore par conséquent.
Elle vous fait voir ainsi que vous êtes de grande valeur, et réduit de ce fait la dépendance au regard d’autrui, à la perception que vous avez de la valeur que les autres vous accordent ou pas, à ce qu’ils pensent et/ou disent de vous.
Sans être arrogante, vous vous suffisez, et n’avez plus ou avez moins besoin de l’avis de quelqu’un pour exister et vivre.
La pratique de la gratitude vous montre également que de belles choses, de bonnes choses vous sont déjà arrivées, et qu’il n’y a donc aucune raison que d’autres belles et bonnes choses ne vous arrivent pas à nouveau.
Vous avez tout à coup confiance en la vie, en l’avenir, confiance dans le fait que des choses tourneront en votre faveur. Ce qui participe à la réduction de l’intensité de la crainte de décevoir.
Vous voyez, la peur de décevoir nous aveugle souvent face à nos propres réussites.
On se focalise sur ce qui nous manque, sur ce que l’on n’a pas encore accompli, oubliant tout le chemin déjà parcouru.
Cultiver la gratitude, c’est comme allumer une lumière sur nos victoires passées, grandes ou petites, et se rappeler que l’on est capable de réussir.
L’histoire de Murielle C. l’illustre bien !
L’histoire de Murielle C. - un exemple inspirant
Murielle C., à l’époque, était chef de projet dans une start-up technologique.
Elle se sentait souvent paralysée par la peur de décevoir ses collègues et supérieurs. Cette anxiété la poussait à douter de ses compétences et à minimiser ses réussites passées.
Un jour, lors d’une séance de réflexion personnelle, elle décida d’intégrer la pratique de la gratitude à sa routine quotidienne.
Désormais, chaque matin, Murielle prenait quelques minutes pour écrire trois choses dont elle était reconnaissante, en mettant particulièrement l’accent sur ses accomplissements.
Par exemple, elle se remémorait avec fierté le lancement réussi d’un précédent produit, la reconnaissance reçue de ses pairs pour son leadership lors d’un projet complexe, ou encore les retours positifs de clients satisfaits.
En se concentrant sur ses succès passés, Murielle commença à renforcer son estime d’elle-même et à développer une attitude plus positive.
Cette nouvelle habitude lui permit de relativiser ses craintes actuelles et de se rendre compte qu’elle avait déjà surmonté de nombreux défis avec succès.
Un jour, lors d’une réunion particulièrement tendue, Murielle se souvint de sa liste de gratitude et prit la parole avec assurance pour proposer une nouvelle stratégie innovante.
Ses idées furent non seulement bien accueillies, mais également mises en œuvre avec succès, renforçant davantage sa confiance en elle-même.
En cultivant la gratitude et en se souvenant par la même occasion de ses réalisations, Murielle réussit à atténuer sa peur de décevoir, découvrant que se focaliser sur le positif pouvait transformer sa perception de soi et améliorer ses performances professionnelles.
Passons à présent de la 5e stratégie !
5e stratégie : célébrez vos réussites

5e stratégie : appréciez vos réussites
Célébrer ses réussites est une stratégie d’une importance primordiale pour quiconque désire se débarrasser de la peur de décevoir.
Mais pourquoi, et surtout comment y parvenir ?
L’histoire d’Emma A. nous montre le chemin juste ci-dessous :
Pourquoi célébrer ses réussites aide à combattre la peur de décevoir ?
Nous venons de le voir, trop souvent, on minimise l'importance de nos réussites, on les balaye d'un revers de la main, pressée de passer à l'objectif suivant.
On oublie de savourer le chemin parcouru, de se féliciter pour les efforts accomplis.
Pourtant, célébrer ses réussites, même les plus petites, est essentiel pour entretenir la motivation et renforcer la confiance en soi. C'est une façon de s'ancrer dans le positif et de se rappeler que l'on est capable de réussir. Et lorsqu’on se rappelle qu’on est capable de réussir, on a tout à coup moins peur de décevoir.
Mais comment adopter cette habitude de célébrer ses réussites ?
C'est l’histoire d’Emma juste ci-dessous !
L’histoire d’Emma A., une transformation grâce à la célébration
Emma A. avait toujours été du genre à minimiser ses succès.
"Ce n'était pas grand-chose", "J'aurais pu faire mieux", "C'était juste de la chance"...
Ces phrases étaient devenues son mantra quotidien.
Jusqu'au jour où sa collègue Sophie organisa une petite fête surprise pour célébrer la signature d'un contrat important qu'Emma avait décroché.
Face à ses collègues qui levaient leurs verres en son honneur, Emma réalisa soudain qu'elle n'avait jamais vraiment pris le temps de savourer ses victoires.
Cette expérience fut révélatrice.
Elle décida alors d'instaurer ce qu'elle appela ses "moments champagne" - non pas qu'elle débouche une bouteille à chaque fois, mais l'idée était là : marquer chaque réussite, même modeste, d'un moment spécial.
Parfois, c'était aussi simple que de s'offrir son café préféré après avoir terminé un projet difficile, ou s'accorder une séance de massage après avoir relevé un défi professionnel.
D'autres fois, c'était organiser un dîner avec ses proches pour partager une bonne nouvelle.
Cette habitude de célébration a transformé sa relation avec la réussite.
Au lieu de passer rapidement à l'objectif suivant, comme si chaque accomplissement n'était qu'une marche de plus à gravir, elle a appris à s'arrêter, à savourer, à reconnaître la valeur de son travail.
C'est comme si chaque célébration devenait une preuve tangible de sa capacité à réussir, un argument de plus contre cette voix intérieure qui lui soufflait qu'elle allait décevoir.
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la célébration n’est pas du tout de la vantardise.

je célèbre, j'appuis sur le bouton dopamine
La célébration : un levier puissant contre la peur de décevoir
La célébration n'est pas de la vantardise - c'est un acte d'auto-reconnaissance. C'est se dire "j'ai réussi cela, et c'est important".
Que ce soit en partageant votre joie avec vos proches, en notant vos succès dans un journal, ou en vous accordant un moment de pure satisfaction personnelle, chaque célébration est comme un petit dépôt sur votre compte en banque de confiance en soi et d’épanouissement.
Comme l'a découvert Emma, quand on apprend à célébrer ses victoires, même les plus petites, la peur de décevoir commence à perdre de son pouvoir.
Car après tout, comment peut-on continuer à douter de soi quand on a des preuves tangibles de ses succès ?!
La célébration devient alors non pas une fin en soi, mais un outil puissant pour construire une image plus positive et plus réaliste de nos capacités.
Découvrons la 6e stratégie !
6e stratégie pour vaincre la peur de décevoir : appuyez-vous sur les défis déjà surmontés
La 6e stratégie pour éradiquer la peur de décevoir est l’une des plus essentielles. Il s’agit de s’appuyer sur les défis surmontés par le passé pour faire son inventaire de courage, et se créer une banque psychique et émotionnelle de résilience.
Voyons donc de quoi il s’agit :
Souvenez-vous des obstacles déjà franchis
Lorsque vous vous sentez découragée par de nouvelles peurs ou par de nouveaux défis, souvenez-vous des obstacles que vous avez déjà franchis.
Par exemple, souvenez-vous d’un projet difficile que vous avez mené à bien ou d’une situation conflictuelle que vous avez résolue avec succès.
Cette réflexion va vous aider à réaliser votre capacité à surmonter les difficultés et à renforcer votre résilience.
Elle va influencer votre état d’esprit face aux épreuves actuelles, réduisant à néant la peur de décevoir.
Mais comment acquérir ce réflexe ?
Comment ancrer cette habitude dans votre quotidien ?
C’est ce qu’a découvert Rosalie L. en créant son "inventaire de courage".
L’inventaire de courage : transformez vos victoires en moteur de confiance
Rosalie se tenait devant son miroir, anxieuse à l'idée de présenter un projet majeur le lendemain.
Cette boule au ventre, elle ne la connaissait que trop bien.
C'est alors qu'elle aperçut la médaille de son premier marathon accrochée dans un coin de sa chambre.
Elle se souvint de ce jour où, quatre ans plus tôt, elle s'était lancée ce défi alors qu'elle n'avait jamais couru plus de 5 kilomètres.
"Si j'ai pu faire ça", se dit-elle, "je peux certainement gérer cette présentation."
Cette prise de conscience l'amena à une pratique qu'elle nomma son "inventaire de courage".
Dans un carnet dédié, elle commença à répertorier tous les défis qu'elle avait surmontés dans sa vie, professionnelle comme personnelle :
Chaque défi surmonté était comme une pierre dans la construction de sa confiance. Elle ne se contentait pas de lister ces expériences, mais prenait le temps d'analyser comment elle avait réussi à les surmonter :
Quelles ressources avait-elle mobilisées ? Quelles leçons en avait-elle tirées ?
Cette réflexion lui révéla un schéma : à chaque fois qu'elle avait fait face à un obstacle qui semblait insurmontable, elle avait trouvé en elle les ressources pour le dépasser.
Cette pratique (l’inventaire de courage) lui permit alors de se créer une banque de résilience
Une banque de résilience est une banque psychique et émotionnelle dans laquelle l’on puise en cas de doute
En faisant de l’inventaire de courage une habitude de vie, on se constitue une banque psychique et émotionnelle de résilience.
Chaque défi surmonté devient à nos yeux une preuve tangible de notre capacité à faire face à l'adversité, et vient faire croître cette banque.
Avoir une telle banque à notre disposition s’avère particulièrement puissant dans les moments où la peur de décevoir nous paralyse : nous pouvons alors puiser dans ces souvenirs de réussite pour nous rappeler que nous sommes plus fortes que nous ne le pensons.
La réflexion sur les défis surmontés nous aide aussi à identifier nos stratégies gagnantes.
Peut-être avons-nous découvert que nous excellons sous pression, que nous savons mobiliser notre réseau quand nécessaire, ou que notre persévérance finit toujours par payer.
Ces insights deviennent des outils précieux pour affronter de nouveaux défis.
Comme l'a compris Rosalie, chaque obstacle surmonté dans le passé est une preuve que nous pouvons surmonter ceux du présent !!!
Cette conscience nous libère progressivement de la peur de décevoir, la remplaçant par une confiance fondée non pas sur des espoirs, mais sur des faits concrets : notre historique de réussites face à l'adversité.
Car après tout, nous sommes la somme de tous les défis que nous avons surmontés, de toutes les peurs que nous avons affrontées.
Et chaque nouvelle victoire, aussi modeste soit-elle, vient enrichir ce capital de confiance.
Et ce capital nous rend plus fortes face aux défis à venir.
Passons à la suite !
7e stratégie : fixer des limites saines
Fixer des limites saines, voilà la 7e stratégie pour se libérer de la peur de décevoir.
C’est ce qui a permis à Julie Z. de s’épanouir vraiment.
Découvrons ci-dessous son histoire ainsi que les avantages et clés pour fixer des limites saines !
Apprenez à dire « NON » pour mieux vous préserver et réduire la peur de décevoir
Apprenez à dire non lorsque vous êtes surchargée de travail ou lorsque des demandes ne correspondent pas à vos priorités.
Par exemple, si un collègue vous demande de prendre en charge une tâche supplémentaire alors que vous êtes déjà occupée, répondez poliment mais fermement en expliquant que vous ne pouvez pas le faire en ce moment.
Cela va renforcer votre estime de soi et vous aider à maintenir un équilibre sain !!!
En mettant en œuvre ces stratégies concrètes, vous pouvez progressivement renforcer votre confiance en vous et avancer avec assurance vers vos objectifs.
Ces actions quotidiennes vous permettent de surmonter vos peurs, de valoriser vos accomplissements et de créer un environnement propice à votre épanouissement personnel et professionnel.
Mais comment mettre en place cette stratégie sans culpabiliser ?
Le cas de Julie Z. nous en donne la clé !
Le cas de Julie Z. : le déclic pour fixer des limites
Julie est une personne généreuse, toujours prête à aider ses collègues, ses amis ou sa famille, même au détriment de ses propres besoins.
Elle accepte chaque demande, enchaîne les projets de dernière minute et se plie souvent en quatre pour les autres, par peur de les décevoir.
Mais à force de dire "oui" à tout, Julie commence à s’épuiser.
Elle se sent débordée et n’a plus le temps de se concentrer sur ses propres priorités. Pire encore, elle constate que malgré tous ses efforts, son entourage semble en demander toujours plus, comme si ses limites n’étaient pas respectées.
Un jour, après avoir passé une nuit blanche à terminer une tâche qu’elle n’avait pas osé refuser, Julie décide qu’il est temps de changer.
Elle s’engage à apprendre à fixer des limites saines.
Elle commence par évaluer ce qui est vraiment important pour elle : quels sont ses objectifs, ses priorités et ses valeurs ?
Elle réalise alors qu’elle ne peut plus tout accepter sans réfléchir.
Lorsqu’on lui fait une demande, elle s'entraîne à répondre avec assurance :
Au début, elle craint de faire face des réactions négatives.
Mais à sa grande surprise, son entourage comprend et respecte ses nouvelles limites.
Fixer des limites : une clé pour la confiance en soi et le respect mutuel
Fixer des limites saines est essentiel à votre bien-être, à votre équilibre et à la gestion de la peur de décevoir.
Dire "non" ne fait pas de vous une mauvaise personne, au contraire : cela montre que vous êtes consciente de vos limites et que vous vous respectez.
Lorsque vous osez fixer des limites claires, vous :
Voici comment mettre cette stratégie en pratique :
En apprenant à dire non quand c’est nécessaire, vous faites de la place pour ce qui compte vraiment dans votre vie, et vous rappelez aux autres — et à vous-même — que vous méritez d’être respectée.
Prête à découvrir la dernière stratégie pour éradiquer la peur de décevoir ?
8e stratégie pour se libérer de la peur de décevoir : acceptez de ne pas plaire à tout le monde

8e stratégie pour se détacher de la peur de décevoir : cessez de chercher à satisfaire tout le monde
Essayer de plaire à tout le monde, voilà la formule parfaite pour intensifier la peur de décevoir.
Puisqu’on se retrouve rapidement dans une situation où l’on mobilise ses ressources (internes et externes) pour satisfaire tout le monde.
Ce qui est impossible.
Pour inverser la donne et au contraire réduire à néant cette crainte, il faudrait faire tout à fait le contraire.
Voici pourquoi, et comment y parvenir :
Comprenez que "plaire à tout le monde" est une illusion
Une peur fréquente qui alimente la peur de décevoir est l’idée erronée que, pour être aimée ou respectée, il faut plaire à tout le monde.
Mais la vérité est qu’il est impossible de satisfaire les attentes de chaque personne, car elles varient d’un individu à l’autre.
Alors même que les ressources (internes et externes) que nous mobilisons pour satisfaire tout le monde ne sont pas inépuisables.
Essayer de plaire à tout le monde se révèle alors épuisant et inefficace.
Et pire, cela nous éloigne de ce qui est réellement important pour nous !!!
Pour inverser la donne, il nous faut donc accepter de ne pas plaire à tout le monde. C’est là la 8e stratégie.
Oui, la 8e stratégie consiste à se libérer de cette quête irréaliste.
De cette manière, vous laissez tomber votre besoin de perfection, et libérez alors de l’espace pour être plus authentique.
Mais comment l’appliquer ?
En vous servant du mode d’emploi qui permet de lâcher prise.
Utilisez ce mode d’emploi pour apprendre à lâcher prise
Ce mode d’emploi comprend trois étapes-clés :
L’exemple d’Élise D. illustre bien cette transformation.
Surmonter la peur de décevoir : l’exemple inspirant d’Élise D.
Elise D. adore organiser des événements pour ses amis.
Mais avant, elle stressait énormément à l’idée que tout le monde ne soit pas satisfait.
Lors d’une soirée qu’elle préparait :
Elle se sentait tiraillée entre ces attentes contradictoires, craignant de décevoir une partie de ses invités.
Mais cette fois-ci, elle décide de faire autrement.
Elle organise la fête selon ses propres idées et besoins, en acceptant que certains ne s’amuseront peut-être pas autant qu’ils l’auraient voulu.
Le résultat ?
Voilà, cet article sur les stratégies pratiques pour surmonter la peur de décevoir est à présent terminé.
Pour aller plus loin ....

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de la timidité à l'affirmation de soi,
du besoin de reconnaissance à l'autonomie
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J'aide chaque femme à se sentir forte, confiante et légitime, à s'affirmer pleinement et à occuper enfin la place qui lui revient.
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"je ne suis pas assez",
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